dimanche 28 avril 2013

Faire le bon choix

J'espère faire les bons choix. Chaque fois, que vous prenez un tournant, vous vous posez quelque part la question. Aujourd'hui c'est un peu la big question :
"qu'est ce que je veux faire ?" professionnellement parlant et personnellement parlant

La crise de la quarantaine

La premiére fois que j'ai entendu "tu traverses la crise de la quarantaine", c'était mercredi et je me suis dit "Ah oui ? ok !", mais en fait, je n'ai pas trouvé l'expression sympa.
Dans ma tête, cela revenait a dire que ce que je faisais, n'était pas le résultat d'un choix, mais une conséquence automatique d'une forme de syndrome....Et puis cette nuit n'arrivant pas à dormir comme depuis lundi, je me suis dit "allons regarder cette crise de la quarantaine" et finalement cela me plait bien, alors ok pour la crise de la quarantaine, why not ?



Un sentiment d'urgence se dessine : quarante ans! Pour bon nombre d'entre nous, indépendamment du sexe, voilà l'occasion de faire le point sur sa vie familiale, professionnelle et affective. Catastrophe ou opportunité en or? À vous de choisir!
L'éclatement du couple
Il arrive parfois que la crise de la quarantaine provoque l'éclatement du couple. Monsieur, ou madame, las de la routine qui s'est installée au fil des ans, décide d'aller voir ailleurs.
L'urgence chez la femme
La crise de la quarantaine, la plus importante de notre vie, se vit différemment chez les hommes et les femmes. Les urgences ne sont pas les mêmes pour l'un et pour l'autre. Tous ont déjà une vie professionnelle sur les rails, avec son lot de succès et de déceptions. Mais cette crise existentielle, la plus importante de votre vie mesdames, s'apparente à des montagnes russes. Tout y passe.
Une remise en question
À l'opposée des crises de la vingtaine, de la trentaine et de la cinquantaine, la crise de la quarantaine se vit différemment, surtout chez la femme. La remise en question est drastique, profonde, parfois existentielle. Le chum, la vie de famille, les rêves à réaliser, le travail, l'argent, tout y passe. C'est le moment de faire le point : qui suis-je? Suis-je heureuse en couple? Ai-je réalisé tous mes rêves, nourrit mes passions? Aurais-je assez d'argent pour la retraite? Le questionnement est profond et se traduit parfois par des chambardements majeurs : réorientation de carrière, séparation, divorce.
C'est également au cours de la crise de la quarantaine que l'alarme biologique sonne le plus fort, chez celles qui n'ont pas d'enfant. La femme sera bientôt infertile. Elle cherchera alors à combler cette absence, souvent perçue comme un vide.
Un impact sur le corps
Généralement, c'est au cours de la crise de la quarantaine que la femme prend conscience du passage des ans et de ses impacts sur son corps. Les cuisses ramollissent, les seins commencent à tomber. La résistance physique diminue lentement, au point où elle ne se sent plus capable d'accomplir les mêmes tâches qu'auparavant.  Finies les courses effrénées des superwomen : le corps ne suit plus.
Les proches qui partent
Quarante ans, c'est aussi l'âge auquel les humains constatent que la vie va s'arrêter un jour. Autour d'eux, des proches décèdent, luttent contre les maladies, voient leurs capacités diminuer de façon importante, et constante.
Le temps qui passe
Pour la femme, dont l'espérance de vie dépasse les 82 ans, la crise de la quarantaine est aussi une bonne nouvelle. Il lui reste la moitié de sa vie devant elle. Elle aura encore quatre belles décennies pour accomplir ce qu'elle n'aura pas réussi à faire durant les quatre premières. L'occasion s'avère idéale pour renouer avec ses convictions personnelles, ses rêves. Il devient essentiel alors de redéfinir ses priorités face à l'argent, la famille, ses passions.
De grandes choses après 40 ans
De nombreuses femmes ont réalisé de grandes choses après avoir franchi le cap de la quarantaine. Elles sont devenues des chefs de file dans leur domaine, pris le crachoir devant des assemblées d'hommes subjugués par leur courage et leur détermination. Les Québécois reconnaîtront sans doute de nombreuses femmes qui ont marqué, et marquent toujours, la scène artistique, télévisuelle, la politique et le monde des affaires.
Conseils pour franchir cette étape
Mais comment franchir cette étape avec brio? Il n'y a pas de recette secrète, mais ces quelques conseils vous faciliteront la tâche.
Prenez votre temps
En mode crise existentielle, il ne sert à rien de tout précipiter. Réfléchissez, pesez les pour et les contres avant de vous engager dans une voie, quelle qu'elle soit.
Lisez
Vous trouverez, sur Internet et en librairie, des articles et des livres sur le sujet.
Écrivez
Un dressant des listes de vos insatisfactions et de vos satisfactions, vous aurez les idées plus claires. Car, vous le savez, l'écriture nous distancie souvent des interrogations qui nous habitent.
Regardez vers l'avenir
Il ne sert à rien de ressasser le passé. C'est la somme de vos expériences qui a forgé la personne que vous êtes aujourd'hui. Et ce sont ces choix de vie qui vous a amenée à ce point de votre existence.

Soyez réaliste
Il ne sert à rien de vous fixer des objectifs, de caresser des rêves qui, en fin de compte, sont irréalisables.

Allez-y pas à pas
Pour franchir cette étape, adoptez la théorie des petits pas. Faire de grandes enjambées ne servira qu'à vous épuiser et à vous faire commettre quelques erreurs que vous pourriez regretter.

Faites du ménage
Dressez un bilan de votre vie et évaluez si les résultats rencontrent vos désirs. En franchissant cette étape élément par élément, vous verrez que certains aspects de votre vie vont très bien.

Éliminez les irritants
Une fois que vous aurez bien identifié les éléments qui vous compliquent l'existence, éliminez ceux qui grugent votre énergie. Vous n'avez pas de temps à perdre en de vaines récriminations et votre énergie sera plus productive dans d'autres aspects de votre vie.

http://www.canalvie.com/vie-de-couple/articles/la-crise-de-la-quarantaine-1949/

Pas facile

Pas facile de changer sa vie, c'est dur de tenir le cap, tellement facile de se laisser aller et de surtout ne rien changer...mais tu finis par te perdre
Ne pas céder a la facilité

mardi 23 avril 2013

Quelle semaine !

Cette semaine, aujourd'hui j'ai fait mon coming out....oui, j'ai 40 ans et j'ai fais mon coming out...un peu tard ? probablement...Qu'est ce que je ressens ? Rien, un peu comme quand vous passez les choses de la colonne à faire à la colonne fait. Pas plus
Pourquoi maintenant ce besoin de clarifier les choses ?
Parce qu'hier une femme magnifique m'a dit qu'elle m'aimait, qu'elle avait envie de m'embrasser en me regardant dans les yeux, qu'elle a mis tout son coeur sur la table et que moi j'avais juste envie de la prendre dans mes bras, parce qu'elle me touche, parce que j'y suis tellement attachée, et que je n'ai pu que lui dire, que ce n'était pas possible, que je n'étais pas célibataire. Parce qu'aujourd'hui, j'ai laissé aller les choses, je vis avec quelqu'un que je n'aime plus et c'est comme pour mon coming out, je laisse faire les choses, plus facile de ne pas avoir de heurts...et donc, je l'ai laissé partir.
Qu'est ce que je ressens ? tellement de peine, mais aussi je pense l'envie de corriger cette situation

mercredi 17 avril 2013

Déçue

Je suis déçue par les gens. J'essaye d'être positive et rien que le fait de dire j'essaye résume bien le fait que cela ne soit pas possible. Amusant, j'ai voulu écrire facile et j'ai écris possible ... Je retrouve un peu de spontanéité. Cela fait du bien.

vendredi 5 avril 2013

Dormir 6 heures

Mon généraliste me conseille de dormir 6 heures pour être bien dans mes baskets ; et surtout pour ne pas avoir de problème de mémoire.
En ce moment, c'est juste impossible....il y a cet forme de réveil entre 3 heures et 4 heures du matin avec une impossibilité de se rendormir. J'ai tout essayé Melatonine, Atarax...là rien de ne marche...il faut que je calme .... peut être essayé la méditation

En cas d'absence, je ne suis pas là




















Si vous n'êtes pas là non plus, il n'y a personne

jeudi 4 avril 2013

Deuxième chance

Je ne sais pas à quoi cela sert de donner une seconde chance aux gens.
C'est tellement prévisible et décevant, rien ne change...même cause, même effet.
J'aimerai tellement être surprise.

lundi 1 avril 2013

Prendre sa vie en main

Là, je crois qu'il faut que je prenne ma vie en main. Professionnellement parlant, prendre des decisions est une chose facile pour moi, mais personnellement parlant, je dois être une truffe...je laisse pourrir une situation dans laquelle je ne me sens pas bien, qui me sclérose la tête, et qui m'empoisonne au quotidien, ce n'est pas possible. Il faut que je reprenne ma vie et ma liberté, je suis entrain de me pourrir la vie, et j'ai les clés en main pour changer. Il faut juste dire stop, bon sang, ne pas laisser aller, reprendre le cours de la route. Alllez, que diable, move on, tu peux le faire....tu as droit de te lever tous les matins, sans avoir tout ce paquet de négatif sur les epaules à gérer