samedi 26 janvier 2013

SAFER Act Would Create DNA Registry, Aid Law Enforcement and Victims


The Sexual Assault Forensic Evidence Registry (SAFER) Act, introduced in Congress, “will lead to testing more DNA evidence and taking more rapists off our streets, says RAINN president Scott Berkowitz. He says RAINN considers it a vital next step in the nation’s efforts to analyze DNA evidence from all open rape cases.
The SAFER Act, introduced by Reps. Caroline Maloney (D-NY) and Ted Poe (R-TX), enhances the Debbie Smith Act to create a national registry of forensic evidence from sexual assault cases. The registry will be online and accessible to the public, shedding light on the untested DNA evidence in thousands of rape cases.

Law enforcement will log up-to-date information on each rape case into SAFER, noting whether the DNA evidence has been analyzed or is awaiting testing. To protect privacy, SAFER will not include any a victim’s name or other identifying information. Victims will receive a confidential code that allows them to check on the testing status of evidence from their own case.
According to Rep. Maloney, who authored the original Debbie Smith Act, “With this legislation, we can obtain the data needed to accurately track whether a backlog exists and how bad it is —and bring the power of web-based transparency to local law enforcement. Citizens and rape victims will be able to see with a few clicks the full contours of local DNA processing status. It’s ‘Government 2.0’ applied to this most heinous of crimes: rape.”



http://www.rainn.org/news-room/news/safer-act-introduced-in-congress

mercredi 23 janvier 2013

Still I Rise.

#DrAngelou
Still I Rise.
The most inspirational speaker I have ever had the privilege of seeing. What a phenomenal woman. 
Her poem "Still I Rise" is such an inspiration to me. The phoenix logo in my watermark was inspired by this woman's legacy in poetry. 

"Be the rainbow in someone else's cloud," said Dr. Angelou tonight. 


samedi 5 janvier 2013

Sortir quelqu'un de sa tête

Nom de dieu, que c'est compliqué, cette personne est rentré dans ma tête comme ça, je la connaissais depuis quelques temps, et je ne sais pas pourquoi à un moment donné, elle est rentré dans ma tête.
C'est compliqué, je la croise plusieurs fois par semaine, nous avons une relation amicale, rien de plus et pourtant j'y pense souvent, j'ai du mal à me concentrer, cela arrive comme ça, pour un rien, à propos d'un rien. C'est dingue, il faut que je la fasse sortir de ma tête.
C'est la première fois que cela m'arrive dans ces proportions. Cela me pollue, j'ai plus de mal à être efficace, et même a être agréable avec les gens que je connais, parce que complètement inattentive et totalement désintéressée par ce que l'on me raconte. Il faut que je la sorte de ma tête, je n'ai plus 15 ans.

Faire le pour et le contre de cette relation, voir qu'il y a d'autres personnes, faire ce que j'aime, retrouver le goût de faire autre chose, et envisager un sevrage, ne plus la croiser pendant un moment.
Il faut que je fasse ça


vendredi 4 janvier 2013

So me, sometimes

So me, sometimes, never afraid to be yourself


DE LA DICTATURE À LA DÉMOCRATIE, par Gene Sharp : Le manuel d’inspiration des revolutions non-violentes


Depuis plusieurs années, la manière dont les peuples peuvent prévenir ou détruire les dictatures a été l’une de mes principales préoccupations. Elle s’est en partie nourrie d’une confiance dans l’idée que les êtres humains ne doivent pas être dominés et détruits par de tels régimes. Cette foi a été renforcée par des lectures sur l’importance de la liberté humaine, sur la nature des dictatures (d’Aristote aux analyses du totalitarisme), et sur
l’Histoire des dictatures (spécialement celle des systèmes nazis et staliniens).
Au fil des ans, j’ai eu l’occasion de connaître des gens qui ont vécu et souffert sous le joug nazi, et qui ont survécu aux camps de concentration. En Norvège, j’ai
rencontré des gens qui ont résisté aux lois fascistes et qui ont survécu, et j’ai entendu l’histoire de ceux qui ont péri.
J’ai parlé avec des juifs qui se sont échappés des griffes des nazis et avec des gens qui les y ont aidés.
Les connaissances relatives aux politiques de terreur des régimes communistes de plusieurs pays m’ont plus souvent été apportées par des livres que par des contacts personnels. La politique de terreur exercée par ces systèmes m’apparaît spécialement poignante, étant donné que ces politiques furent imposées au nom de la libération de l’oppression et de l’exploitation.
Au cours des dernières décennies, lors de visites de personnes venant de pays dictatoriaux, comme le Panama, la Pologne, le Chili, le Tibet, et la Birmanie, les réalités quotidiennes des dictatures devinrent pour moi plus prégnantes. Grâce à des Tibétains qui s’étaient battus contre l’agression de la Chine communiste, à des Russes qui avaient fait échouer le coup d’État de la ligne dure du parti en août 1991, et à des Thaïlandais qui avaient fait obstacle de manière nonviolente au retour du régime militaire, j’ai acquis de troublantes perspectives sur la nature insidieuse des dictatures.
La conscience du caractère pathétique et outrageux des brutalités, en même temps que l’admiration pour le calme héroïsme de ces hommes et de ces femmes incroyablement courageux, furent parfois renforcées par des visites sur place, là où les dangers étaient encore grands et où la défiance des peuples déterminés continuait : au Panama sous Noriega ; à Vilnius en Lituanie alors que le pays était soumis à la répression soviétique. Mais aussi à Pékin, place Tienanmen durant l’explosion festive de la liberté, jusqu’à l’entrée des premiers blindés dans cette nuit tragique ; et dans la jungle, au quartier général
de l’opposition démocratique de Manerplaw en « Birmanie libérée ».
Quelquefois, j’ai visité des lieux de combats, comme la tour de la télévision et le cimetière à Vilnius, le jardin public à Riga où des gens ont été fusillés, le centre de Ferrare au nord de l’Italie où les fascistes alignaient et abattaient les résistants, et à Manerplaw, un simple cimetière rempli de corps d’hommes morts beaucoup trop tôt.
Il est triste de réaliser que toute dictature laisse un tel sillage sur son passage.
De ces considérations et de ces expériences monte l’espoir résolu que la prévention de la tyrannie est possible, que des combats victorieux contre des dictatures peuvent être menés sans massacres mutuels massifs, que des dictatures peuvent être détruites et qu’il est même possible d’empêcher que de nouvelles ne renaissent des cendres de celles qui sont tombées.
J’ai tenté de réfléchir soigneusement aux solutions les plus efficaces pour désintégrer les dictatures au moindre coût en termes de souffrances et de vies humaines. Pour cela, j’ai, pendant plusieurs années, étudié et tiré les enseignements des dictatures, des mouvements de résistance,
des révolutions, de la pensée politique, des systèmes de gouvernement et porté une grande attention aux luttes nonviolentes réalistes.
Ce livre est le résultat. Je suis certain qu’il est loin d’être parfait. Mais peut-être offrira-t-il un guide pour assister à la réflexion et à la planification de mouvements de libération qui deviendront ainsi plus puissants et plus efficaces.
Par nécessité et par choix délibéré, cet essai est centré sur la question fondamentale : comment détruire une dictature et empêcher qu’une nouvelle ne vienne la remplacer ? Je ne suis pas compétent pour produire une analyse détaillée et des prescriptions concernant un pays en particulier. Cependant, je souhaite que cette analyse générique puisse être utile à ceux qui, malheureusement en de trop nombreux pays, ont aujourd’hui à faire face aux réalités d’une dictature. Ils pourront vérifier la validité de cette analyse pour les cas particuliers et juger dans
quelle mesure ces recommandations s’appliquent à leur combat de libération.
En écrivant cet essai, j’ai contracté plusieurs dettes de gratitude. Bruce Jenkins, mon remarquable assistant, a apporté une contribution inestimable par son identification des problèmes de contenu et de présentation, par d’incisives recommandations pour une présentation plus claire et rigoureuse des idées difficiles (spécialement sur la stratégie), pour une réorganisation structurelle et des améliorations éditoriales. Je dois aussi remercier Stephen Coady pour son assistance éditoriale. Le Dr. Christopher Kruegler et Robert Helvey ont offert des critiques et avis très importants. Le Dr. Hazel McFerson et le Dr. Patricia Parkman m’ont respectivement donné des informations sur les luttes en Afrique et en Amérique latine. Bien que mon travail ait grandement bénéficié de ces aides agréables et généreuses, ses analyses et ses conclusions restent de ma responsabilité.
Je ne prétends nulle part dans cet essai que défier des dictateurs soit une entreprise aisée et sans coûts.
Toute forme de lutte a un coût et des complications, et combattre les dictateurs fait, bien sûr, des victimes.
Cependant, mon souhait est que cette analyse incite les dirigeants de mouvements de résistance à considérer des stratégies qui augmenteront leur efficacité en réduisant les
pertes humaines.
De même, cette analyse ne doit pas être interprétée comme l’affirmation que la fin d’une dictature fait disparaître tous les autres problèmes. La chute d’un régime ne mène pas à l’utopie. En fait, elle ouvre la voie à des travaux difficiles et à des efforts soutenus pour construire une économie, des relations politiques et une société plus juste, et éradiquer les autres formes d’injustice et d’oppression. Mon espoir est que ce bref examen de la manière de désintégrer une dictature puisse être utile partout où des peuples vivent dominés et désirent être
libres.
Gene Sharp

Monster never sleep under your bed

Monster never sleep under your bed


jeudi 3 janvier 2013

mardi 1 janvier 2013

Mes bonnes résolutions 2013

Pas faux... je médite au moins deux minutes, cela fait partie de mes bonnes résolutions 2013 ;-)


18 Things You Can Do Right Now To Become a Loving, Positive Person


We live in denial of our inherent negativity for the most part, and often wonder why the world around is so mean and reckless. Unlike dogs we may not be born eternal optimists, but positivity is something that can be imbibed even if a tad forcibly; such as by trying to tweak our sense of humour, the way we react to a given situation, by being more pleasant and believing others too have a mind, and by smiling each time somebody says ‘thank you’. While positivity is a state of mind, the answer lies in our perspective. Here are 18 things you can do right now to becoming a more loving and positive person.
It’s one thing to wax eloquent on positivity, but quite another to be a positive person at heart. Despite believing to have a positive outlook, we invariably weigh the cons first. What’s more, we prefer needless sarcasm for humour, manage a wry smile when something is genuinely funny, and believe deep down that the glass is actually half empty.
18 Things To You Can Do To Change Your Outlook:
1. Have the desire: To become a positive person one must have a strong desire to be positive. And the desire will come only if you are convinced that becoming a positive person will enhance the quality of life. Positivity is like an aura, and you know you are a positive person when people start trusting you, random people become polite with you, colleagues at work respect your positive outlook and you start building rapport easily.
2. Believe in all possibilities: About what you can or cannot do. About what is possible or impossible. Don’t allow your limiting beliefs to keep you stuck in the wrong place. Spread your wings and fly! Once you realize all is possible, the doors of limitation that were closed in your mind will open be connected to all those aspects of consciousness.
3. Be realistic: Do not try to become a saint. Becoming a positive person does not mean you can never have any negative emotion or encounter any negative situation. It is the overall attitude that matters and your reaction to every experience. Don’t get bogged down by failure, and disappointed when your expectations are not met. Understand that everything is of service to you. All experiences are neutral and our perception is what creates our positive or negative outlook.
4. Experience empowerment rather than criticism: Give up your constant need to complain and criticize about those things — people, situations, events that make you unhappy, sad and depressed. Nobody can make you unhappy, no situation can make you sad or miserable unless you allow it to. When you criticize, you are passing self-judgement for something lacking in your life that you refuse to let go of. Never underestimate the power of positive thinking. For every opportunity you feel the inclination to criticize, try to think about how that specific situation is serving or benefiting others.
5. Experiment: Be a keen observer. Use everyday life incidents to see how you can manage them in a more positive manner. These will serve as perfect instances to turn your outlook more positive. For starters, contemplate how you could have better handled a situation by being less hostile and more indulgent. Come up with five ways that could have saved the day, and learn to take things at face value sometimes. Remember, your ability to trust the other person also reflects your genuineness.
6. Accept responsibility: Guilt is a trick of the mind. Accept responsibility for yourself, your life and your actions. You are response-able. You are an adult. You are account-able, meaning, with every action you take, you account for it. You chose to do it; you must accept the consequences of it and you did it all for a reason…to learn. If you continue to feel guilty, you stop learning.
7. Speech and body language: Try and make positive words a part of your daily lingo, and work on your body language in way that you come across as friendly and approachable. Look amused when something is amusing, laugh when something is funny, congratulate when credit is due, and give others a chance to narrate their side of the story. Never think you are the only interesting, knowing one around.

8. Be yourself:
 You are unique. Enjoy your uniqueness. Nobody in the world is just like you. Stop trying so hard to be something that you’re not just to make others like you. The moment you take off all your masks, the moment you accept and embrace the real you, you will find people will be drawn to you, effortlessly.
9. Company: One way to becoming positive is to seek positive company as both positivity and negativity are infectious. If the people you spend most of your time with are grumpy or have a pessimistic standpoint, you’ll find yourself inadvertently mirroring the same emotions with others. In order to inculcate positivity it is imperative that your friend circle is a positive, energetic, and a happy bunch. You’ll find yourself carrying the same positivity everywhere you go.
10. Think here and now: The past and future often set us on a path of emotional turmoil. We often assume the past looked so much better than the present and the future looks so frightening, but you have to take into consideration the fact that the present moment is all you have and all you will ever have. The past you are now longing for — the past that you are now dreaming about — was ignored by you when it was present. Stop deluding yourself. Be present in everything you do and enjoy life. After all life is a journey not a destination. Have a clear vision for the future, prepare yourself, but always be present in the now.
11. Activities: Do not remain idle and brood. Take up positive activities with others or in isolation. Share a joke, narrate a pleasant incident, take part in sporting activities, go for a run in the evening after work, have healthy sex, and you’ll find yourself bubbling with positive energy.
12. Take it easy: Everyday life is bound to give you shocks. Be prepared to minimise impact and shrug it off. For instance, you may get too hassled everyday while driving to work or trying to park your car. When you accept the fact that certain things cannot be changed, you’ll be more at ease with yourself and those around too.

13. Drop your expectations:
 Let go of any expectations of yourself that will limit your growth. If you hold high expectations for how others should behave, you will often be disappointed if they do not represent themselves in the manner you expected. It is only your expectations of people that cause you to judge them which ultimately is a judgement of yourself. Far too many people are living a life that is not theirs to live. They live their lives according to what others think is best for them, they live their lives according to what their parents think is best for them, to what their friends, their enemies and their teachers, their government and the media think is best for them. They ignore their inner voice, that inner calling. They often forget what makes them happy, what they want, what they need. You have one life — this one right now — you must live it, own it, and especially don’t let other people’s opinions distract you from your path.
14. Maintain a diary: Instead of recounting all events of the day, filter out only the positive ones and make a note of them. It could be anything trivial from your bus arriving on time, your mom cooking a delicious breakfast, to remembering to pay the bills on time. When we look for positivity in the little things that make our lives worthwhile, we leave no room for negativity. Try consciously practising this for 10 days, and at the end of day ten when you read your diary back you’ll only have memories of all the good things that happened to you.
15. Meditate: Not only does it secrete happy hormones but also creates a sense of awareness within you. You will learn to control your breathing, and by way of it, control your mind from wandering. Every time you meditate, you feel a surge of positive energy through your body that calms your nerves, soothes your mind, elevates your mood, and not to mention enhances your level of tolerance.

16. Embrace change: 
Change is good. Change will help you move from A to B. Change will help you make improvements in your life and also the lives of those around you. Follow your bliss, embrace change — don’t resist it.
17. Re-invent your need to be right: There are so many of us who can’t stand the idea of being wrong — wanting to always be right — even at the risk of ending great relationships or causing a great deal of stress and pain, for us and for others. We love to right-fight. It’s just not worth it because the state of being right is all subjective with so many layers and perspectives of truth. Whenever you feel the ‘urgent’ need to jump into a fight over who is right and who is wrong, ask yourself this question:“Would I rather be right, or would I rather be kind?” ~ Wayne Dyer.
18. Say ‘thank you’: Thank god, thank your parents, friends, and thank yourself for all the hard work you did, for everything you achieved. Saying thank you frequently makes you humble, and a humble person is seldom cynical.

Happy New Year

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★。。新。。★
★。。年。。★
。★。快。★。
。。★樂★。。
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。。 2013 。。
Happy New Year